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Gustave Moreau (XIXè Léda. Aquarelle 39 x 24. Paris, Musée Gustave Moreau.
Nous répétons à nouveau cet impératif : c'est la maîtrise technique qui permet l'éclosion des styles et des factures. Au contraire, toutes les oeuvres des débutants se ressemblent inévitablement, puisque nous y trouvons, et c'est tout à fait compréhensible, les mêmes erreurs, maladresses et défauts techniques, tels la sécheresse, le manque d'eau, les fautes de dessin et de composition, les surcharges inutiles, les repentirs etc. Tous ces défauts aboutissent à la platitude, inexorablement. Ils occultent, telle une gangue, la vraie personnalité du débutant. Ses aspirations esthétiques sont, durant son apprentissage, entravées, enchaînées par le manque de technique. Mais c'est la persévérance et la ténacité qui font aboutir et qui engendrent les maîtres en histoire de l'art.
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Gustave Moreau (XIXè). Oedipe voyageur. Aquarelle 35 x 25. Paris, Musée Gustave Moreau.
Nous répétons à nouveau cet impératif : c'est la maîtrise technique qui permet l'éclosion des styles et des factures. Au contraire, toutes les oeuvres des débutants se ressemblent inévitablement, puisque nous y trouvons, et c'est tout à fait compréhensible, les mêmes erreurs, maladresses et défauts techniques, tels la sécheresse, le manque d'eau, les fautes de dessin et de composition, les surcharges inutiles, les repentirs etc. Tous ces défauts aboutissent à la platitude, inexorablement. Ils occultent, telle une gangue, la vraie personnalité du débutant. Ses aspirations esthétiques sont, durant son apprentissage, entravées, enchaînées par le manque de technique. Mais c'est la persévérance et la ténacité qui font aboutir et qui engendrent les maîtres en histoire de l'art.
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Cézanne (XIXè). La montagne Ste Victoire. Aquarelle. Vienne, Musée de l'Albertina
Quelle simplicité ! Merci, Cézanne.
La relation entre le dessin et l'aquarelle
Ainsi que nous l'avons déjà souligné, le dessin doit être constamment présent dans un tableau. Certains puristes gomment toutes traces de dessin à la fin, lorsque la couleur est bien sèche. Cela renforce la netteté et l'éclat des blancs. Les maitres anciens ne procèdaient pas ainsi. C'est pourquoi il existe des degrés entre le dessin et l'aquarelle. Le premier degré, c'est le dessin poussé, rehaussé de quelques touches de couleur. Dans une telle oeuvre, le dessin est primordial par rapport à la couleur. Le second degré c'est une légère esquisse très poussée en aquarelle. Dans ce cas le dessin cède le pas à la couleur , dans l'effet optique.
Cependant, on distingue déjà une différence entre l'aquarelle précédente et les deux suivantes, aux contrastes très marqués.
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Michel Le Rol
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